6 questions au CEO, Valentin.
Une bonne formation ? C’est une formation qui part de l’apprenant et pas du « sachant », de ses besoins, en situation. Elle s’aligne aussi avec les objectifs de l’entreprise. Et surtout, elle génère de l’enthousiasme !
Un bon apprenant ? Il n’y a pas de bon apprenant, il n’y a que de mauvais pédagogues ! ce qui importe c’est que la formation soit adaptée à l’apprenant et pas que l’apprenant s’adapte à la formation.
Make U Learn en 3 mots ? Enthousiasme. Exigence. Evolution.
Tes prochains projets ? Le lancement de la chaine YouTube, les agences Make U Learn partout en France (Nantes, Marseille, Bordeaux…), une plateforme de scénarisation pédagogique. On ne va pas s’ennuyer !
Une personnalité que tu admires ? André Rousselet, subversif et conventionnel, fondateur de Canal+, propriétaire des taxis G7, président d’Havas et argentier de Mitterrand. Et enfin, un grand collectionneur d’art contemporain. J’adore son côté multicartes, sans perdre la cohérence de son action.
Un artiste qui t’inspire ? Herbie Hancock, un grand pianiste de jazz qui a travaillé avec l’immense Miles Davis. Son album « Future Shock » (1983) est emblématique. Il intègre très tôt tout ce qui deviendra le hip hop, le scratch, le rap. En 1981, il légitime des sons qui n’existent que dans les clubs underground de Brooklyn et de Harlem. J’aime beaucoup cette idée de faire émerger des choses qui viennent « du bas », et de créer une nouvelle forme culturelle. C’est une musique qui est désormais hyper installée.
Il est parvenu à l’époque à rendre ces sons accessibles au plus grand nombre. C’est ce côté avant-gardiste qui me sert de boussole pour Make U Learn.
